Favoriser la créativité pour donner du sens au travail

Libérer sa créativité peut permettre de donner du sens à son emploi.
Le Forum Economique Breton s’est déroulé à Saint-Malo le 31 août et le 1er septembre 2022, l’occasion d’assister à de nombreuses tables rondes consacrées à l’attractivité et l’emploi, les transitions énergétiques, les transitions Agro-Agri, la RSE et l’innovation. Photo©Kelval

Parmi les préoccupations majeures des services de ressources humaines figure le recrutement de candidats. C’est du moins ce que j’ai retenu des deux jours au Forum Economique Breton qui s’est tenu le 31 août et 1er septembre dernier à Saint-Malo. Dans une région où le taux de chômage avoisine seulement 5,8 %, certaines entreprises peinent à endiguer la vague de démissions déclenchée à l’issue des confinements. Ce mouvement révèle de nouvelles aspirations, et esquisse sans doute une nouvelle phase des relations professionnelles.

Les attentes des collaborateurs

Alors qu’au début des années 2000 le salarié se réjouissait de collaborer dans une start-up qui fleurait bon le fun et la convivialité, il s’attache dorénavant à s’assurer d’un équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Concomitamment, le collaborateur exprime un besoin de reconnaissance, qui passe en premier lieu par le niveau de rémunération. Ce dernier reste – de manière tout à fait compréhensive- le premier des indicateurs de motivation pour un poste. Mais cela ne suffit pas. Donner du sens à son activité constitue également un élément de motivation primordial.

Participer à un atelier de co-création

Favoriser la créativité de votre équipe, les impliquer dans le déploiement de votre marque, peut contribuer à donner du sens à leurs missions. Dans cette perspective, KelVal vous propose d’organiser des ateliers de co-création. Préalablement, vous déterminez un type d’outil de communication à concevoir telle qu’une présentation d’une nouvelle offre commerciale ou une présentation générale de votre entreprise. L’atelier permettra dans un premier temps à chaque membre de l’équipe d’exercer sa propre créativité. Dans un second temps, chacun s’attachera à mettre son inventivité au service d’un outil de communication déterminé en amont et créé collectivement. De quoi renforcer à la fois l’esprit d’équipe et le sentiment de contribuer à l’essor de l’entreprise, au-delà des fonctions de chacun.e. Prêt à tenter l’aventure ?

Osez créer… enfin!

Vous aspirez à libérer votre créativité, mais quelque chose vous en empêche. Et si vous lâchiez prise?

Libérez votre créativité, laissez venir l’inspiration – ©Kelval Story

Vos proches vous reconnaissent mille et une qualités mais… aucune disposition artistique. Est-ce parce que vous doutez de votre talent ? Est-ce parce que vous leur avez montré l’un de vos premiers essais ? Toujours est-il que vous, vous ressentez votre pouvoir créatif. Mais vous peinez à l’exprimer. En proie à vos doutes, vous réfrénez régulièrement l’envie de prendre un pinceau ou de taper un texte sur votre ordinateur.

Cessez les critiques acerbes

Savez-vous qu’il suffit de faire le vide en vous pour vous laisser inspirer ? Certes, ce n’est pas si simple que cela, surtout lorsque vos petites voix intérieures vous dénigrent, vous étiquettent inaptes à l’écriture ou la peinture. Parfois il y a aussi ces souvenirs que vous ressassez à l’envi, qui vous renvoient à des moments d’échec, à des petites humiliations… De vrais puits sans fonds qui vous empêchent de passer à l’action.

Longtemps je me suis souvenue de cette prof de dessin en classe de 5e. Alors qu’elle passait entre les rangs remettre des copies, elle a chaleureusement félicité l’élève placé devant moi. Arrivée à mon niveau, elle s’est contentée de jeter mon dessin en émettant un pfff méprisant. Touchée en plein cœur ! J’ai attendu des décennies avant de pouvoir me diriger dans un atelier de peinture. Pendant tout ce temps, j’ai tant et tant rêvé d’être artiste peintre ou écrivaine, voire les deux. Dans le film L’insoutenable légèreté de l’être je me souviens m’être totalement identifiée au personnage de la peintre interprétée par Lena Olin. Depuis j’ai compris, que ce n’était pas dû au hasard. Mais l’histoire venait titiller l’envie que je refoulais. Tout ça à cause du « pfff » d’une prof…

Un jour j’ai entendu une petite voix qui m’a dit : « Inspire-toi, laisse-toi inspirer, laisse les mots ou les gestes glisser à travers toi, malgré toi. Envoie valser les jugements qui t’entravent, te blessent, te sclérosent ».

Laissez-vous inspirer

Si ces mots font écho en vous, c’est sans doute parce que vous aspirez vous aussi à peindre ou écrire. Je vous propose de participer à un atelier en individuel ou collectif pour libérer votre créativité. A travers des exercices très simples et accessibles à toutes et tous, je vous accompagnerai pour créer un nouveau logo, élaborer le storytelling de votre activité ou bien encore rédiger des posts pour les réseaux sociaux.

N’hésitez pas à me contacter pour échanger sur le sujet. Le premier rendez-vous est gratuit et sans engagement.

Se diversifier pour booster son activité

Diversifier son activité -rédaction de contenu - graphisme
Mes premiers pas en couture me permettront-ils de diversifier à terme mes activités en communication (rédaction, graphisme…)? A suivre…

Réussir à diversifier ses activités sans se disperser, ce n’est pas seulement une question d’organisation. En se laissant guider par ses envies, on donne de la cohérence à son projet. C’est aussi une manière d’affirmer sa singularité.

Dès que j’entre dans un magasin de tissus, je ressens instantanément une immense joie. C’est un plaisir de toucher les étoffes, d’imaginer comment transformer soie ou coton en une robe printanière. Parfois, j’achète quelques chutes de tissu, avec toujours cette promesse : « Je pourrai toujours les utiliser pour m’entrainer ». Mais je n’ai jamais pris ce temps-là… jusqu’à la semaine dernière. Je me suis inscrite à un stage de 10 séances de couture. Cette fois-ci, il était hors de question de procrastiner.

Suivre ses élans

Comme toujours, l’envie d’ajouter une nouvelle corde à mon arc s’est imposée à moi. Enfant, j’ai commencé par improviser un petit air en chantonnant, puis les mots sont arrivés. J’ai éprouvé alors un besoin irrépressible de les écrire sur un cahier. C’était mon premier poème. Dix ans après, un autre besoin, tout aussi impérieux, m’a conduite dans un atelier de théâtre. C’est sur une impulsion similaire que je me suis dirigée vers un atelier de peinture à l’huile, il y a cinq ans.

Aujourd’hui, j’ai donc cédé à l’appel de la couture. Cela faisait des années que j’en avais envie, des années passées à me dire que je n’avais pas le temps, ni la dextérité. Finalement, j’ai mis les doutes de côté. Puis j’ai bloqué un soir de semaine pour m’y consacrer. Pas question pour autant de renoncer aux autres modes d’expression. A l’exception du théâtre que j’ai remplacé par la danse libre, je continue d’écrire et de peindre quasi-quotidiennement.

Multiplier les activités me prend bien sûr beaucoup de temps, mais c’est cet ensemble qui me permet d’être en accord avec ce que je suis. De quoi faire mentir l’adage populaire : « il ne faut pas courir plusieurs lièvres à la fois ». A une nuance, toute initiation demande une double dose de concentration et d’énergie. Et ça, c’est incompressible.

Et vous, avez-vous diversifié les activités de votre entreprise ?

Se mettre au service de l’autre, une vocation

Se mettre au service de l’autre, une vocation dont j’ai longtemps cherché le sens.

Se mettre au service de l’autre, c’est une vocation, de celles qui s’imposent à vous sans que vous sachiez comment ni pourquoi.  De mon côté, j’ai longtemps tâtonné, expérimenté avant de comprendre vraiment de quoi il s’agissait. Tout juste licenciée en Lettres Modernes, j’ai effectué un remplacement de congé maternité dans un collège /lycée professionnel privé. Je passais d’un cours de français à une classe de 6e à un cours d’histoire face à des élèves de 3e, pour finir parfois par une séance de culture générale à des BTS. 

Très vite, j’ai pris conscience des écueils qu’il me fallait éviter. Je constatais qu’il ne servait à rien d’édicter doctement -ou non- des règles d’orthographe et de grammaire à des élèves. Il fallait suivre un autre chemin, mais lequel? J’en savais fichtre rien. Au bout de quelques mois, j’ai pris conscience que je n’aurais pas dû me précipiter sur le premier poste venu, même si cela avait été une nécessité. J’en étais alors persuadée: on ne pouvait pas passer de sa chaise d’écolière à celle d’enseignante, sans s’être préalablement confrontée au monde de l’entreprise. Aussi à la fin de l’année scolaire, j’ai refusé l’offre d’un nouveau contrat, à la grande surprise du directeur. 

Rendre l’autre autonome 

L’envie d’enseigner s’est à nouveau imposée à moi quelques années plus tard, après avoir fait un crochet au théâtre. Cette fois-ci je me suis formée à une pédagogie dite alternative, je disposais enfin des outils pour rendre les élèves autonomes dans leur apprentissage. Le Graal! Cette méthode avait fait ses preuves notamment pour la lutte contre l’illettrisme, l’alphabétisation et l’enseignement du français langue étrangère. Pendant deux ans, j’ai donc donné des cours à des groupes d’adultes le plus souvent fragilisés par des situations très précaires. Cela engendrait parfois des accès de violence. Je n’avais pas les armes pour y faire face. Dans un premier temps, sans m’en rendre compte, j’ai adopté la position du sauveur. Cette expérience m’a fait réfléchir sur la manière la plus juste d’apporter  de l’aide à l’autre. Là encore je n’ai pas trouvé la bonne réponse sur le moment. Aussi j’ai préféré changer d’orientation professionnelle. 

Quelque temps plus tard, parallèlement à mon métier de journaliste, j’ai donné des cours particuliers d’aide aux devoirs, avec des enfants du primaire ou du collège. C’est au cours de ces séances que j’ai trouvé comment apporter de l’aide sans faire à la place de l’autre. J’ai cheminé pour amener l’autre à trouver sa propre autonomie dans l’apprentissage. Il s’agissait simplement de l’écouter et de l’inciter à s’exprimer avec ses propres mots. C’est devenu une grande satisfaction de les voir puiser dans leurs propres ressources pour exprimer leurs émotions, construire leurs pensées. 

Puis arrivait le jour où je voyais la joie dans leur regard, parce qu’ils avaient réussi. Je savais à ce moment-là qu’ils n’avaient plus besoin de moi. C’est tout le sens de se mettre au service de l’autre. Savoir lui donner les outils qui répondent à ses besoins, puis le laisser voler de ses propres ailes. 
Aujourd’hui, je vous propose en tant que responsable d’entreprise de donner des ailes à votre marque avec différents outils. Que ce soit par la création d’un logo ou de graphisme en accord avec vos valeurs ou via la rédaction de contenus.

N’hésitez pas à me contacter pour un premier rendez-vous sans engagement.

Valérie Quélier

L’upcycling, tendance de la mode écoresponsable, vous tente ?

Upcycler des totebags avec de la broderie et de la peinture textile

L’upcycling -surcyclage, en français- a le vent en poupe. Les marques sont de plus en plus nombreuses à préférer transformer une matière existante plutôt qu’en créer une nouvelle. Son avantage est avant tout d’ordre écologique. Alors que le recyclage consiste à traiter des objets pour en extraire les matières premières à réutiliser, l’upcycling garantit lui le zéro déchet. Les objets sont réutilisés et revalorisés dans leur intégrité. Pas de gaspillage.

Récemment j’ai rencontré plusieurs créateurs qui ont basé leur collection sur l’upcycling à 100%. A seulement 24 ans, Claudie Chevalier, fondatrice de la Petite boucle, a eu l’idée lumineuse de transformer des parapluies devenus inutilisables en coupe-vent. A se demander pourquoi personne n’y avait pensé avant.

De mon côté, je teste l’upcycling en piochant dans mes petits stocks de totebags, le plus souvent issus de salons et conférences de presse, et de bobines de fil à broder, hérité de ma grand-mère. Pour le moment, ce sont avant tout des tests. Pour faire du neuf avec du vieux, j’utilise également de la peinture pour textile, fraîchement achetée. J’aspire à mixer plusieurs techniques de peinture et de broderie. Il me reste encore un peu de travail avant de réaliser des sacs ou des tee-shirts à la demande. Mais cela ne devrait plus tarder.

Si l’idée vous plait, vous pouvez d’ores et déjà prendre rendez-vous pour un éventuel upcycling des totebags de votre entreprise.

Et sinon, il y a d’autres idées d’upcycling que vous appréciez ?

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A propos de KelVal

Tout d’abord journaliste en presse écrite high-tech (01 Net magazine, Micro Hebdo, Le Nouvel Hebdo…), puis responsable en communication au sein d’association et PME, j’ai créé ma propre agence de communication KelVal à l’été 2021. Au menu : rédaction de contenus, graphisme et prise de parole en public.

La viscose, une matière textile écoresponsable… vraiment ?

La viscose ne remplit pas tous les critères de l’écoresponsabilité comme le Tencel Lycoell, le modal ou le coton bio.

Il y a quelques jours, entre la création d’un logo pour un futur lieu et la rédaction de contenus pour une entreprise de textile, j’ai demandé à Google de rechercher une robe en soie. Deux clics plus tard, un célèbre site d’e-commerce me soumettait un choix d’articles correspondant à ma requête, avec, en prime, quelques pièces estampillées du macaron Écoresponsabilité. Autrement dit le Graal, d’autant plus que l’une de ces perles affichait un prix ultra-doux de 15,99 euros. Mais à ce prix-là impossible que ce soit de la soie, me direz-vous, effectivement la robe était en 100% viscose. Que l’algorithme confonde soie et soie de viscose passe encore, mais de là à affirmer qu’il s’agisse d’une matière écoresponsable, j’ai eu comme un doute.

Pourtant à en croire le site, la pastille Écoresponsabilité correspond aux critères suivants : « Les articles portant cette étiquette sont fabriqués avec au moins 50 % de matériaux issus de la forêt, tels que la viscose, le bois, le papier ou le liège, qui proviennent de sources certifiées ou responsables et contribuent à protéger les forêts anciennes et menacées. »

Le procédé de fabrication de la viscose comprend des acides toxiques

Pour en avoir le cœur net, j’ai demandé à Lucia Della Putta, consultante dans le développement durable du cabinet TiiTdesign, son point de vue d’experte en textile.

« La viscose est une matière dérivée de la cellulose du bois ou bien des restes de coton. Aujourd’hui elle est de plus en plus souvent extraite de plantes à forte croissance comme le bambou et l’eucalyptus. Son procédé de fabrication ne nécessite pas d’abattre des arbres centenaires. En ce sens, on peut dire qu’effectivement la viscose contribue protéger les forêts », explique Lucia Della Putta.

Mais il s’agit d’un raccourci un peu audacieux. Celle qui a également créé la marque de vêtements DanceFiber s’empresse d’ajouter que le procédé de fabrication implique l’usage d’une certaine typologie d’acides toxiques. De ce fait elle ne fait pas partie des matières les plus écologiques. En l’espace de vingt ans, le procédé de fabrication a certes évolué et s’avère aujourd’hui moins dangereux. Mais au contraire du TENCEL™ Lyocell par exemple, il continue de recourir à la soude caustique, au disulfure de carbone et à l’acide sulfurique pour dissoudre la cellulose. De plus, il reste difficile de savoir de quelle manière le fabricant se débarrasse des rejets toxiques. La réglementation européenne interdit de les jeter dans les fleuves, mais ce n’est pas le cas partout dans le monde.

Des matières textiles plus écoresponsables que le viscose

Aussi il est préférable de choisir des matières comme le TENCEL™ Lyocell ou le micromodal qui recourent à un solvant non toxique et recyclable  – le composé organique oxyde d’amine (MMNO) – et qui sont fabriquées en “circuit fermé”. Cela signifie que les grandes quantités d’eau et les produits chimiques employés sont recyclés et réutilisés jusqu’à épuisement quasi total. De plus, les eaux sont traitées avant d’être rejetées dans la nature.

« Ce procédé de fabrication garantit à 98% voire 99% l’absence de rejets toxiques », assure Lucia Della Putta.

Mais si le micromodal est désormais tombé dans le domaine public, le Tencel reste soumis à un brevet détenu par Lenzing. Cela explique le prix souvent élevé de cette matière. Ce n’est pas aujourd’hui que je vais trouver une robe en Tencel à 15, 99 euros… ni en soie.  

L’anecdote -au-delà du changement des habitudes des consommateurs qu’elle soulève- questionne surtout sur l’usage du terme écoresponsabilité. Au lieu de le galvauder à des fins marketing, les entreprises ne gagneraient-elles pas à faire rimer écoresponsabilité avec authenticité ? Qu’en pensez-vous ?

Valérie Quélier

Osez changer de logo

Donnez des ailes à votre marque 
Mettre votre identité visuelle au goût du jour

Récemment, j’ai eu subitement envie de changer totalement les meubles de place chez moi. Ce chamboulement a entrainé son lot de courbatures pendant trois jours mais aussi et surtout une belle énergie, celle-là même qui vous donne envie de croquer la vie à pleine dent. Certes, j’ai eu besoin d’un petit temps d’adaptation pour m’habituer à la nouvelle configuration. Deux semaines plus tard, je tâtonne encore dans mon environnement, mais ça en valait la peine.

Dans une certaine mesure, changer de logo, c’est un peu comme changer les meubles de place. On refait du neuf à partir de l’existant. Après quelques années d’existence, il est souvent nécessaire de modifier l’apparence de son identité visuelle pour rester en phase avec le moment présent. Et ce qu’il s’agisse des nouvelles tendances graphiques ou des modifications apportées au fil de l’eau à votre offre.  L’évolution du logo d’Apple est de ce point de vue éloquente.  

Si vous aussi vous avez envie d’un changement de look, d’un nettoyage de printemps pour votre marque, n’hésitez pas à me solliciter pour un rendez-vous. Le premier échange d’environ 30 minutes est gratuit et sans engagement.

L’émoji, l’autre élément de langage

Emoji qui rit, qui pleure - Pour ou contre l'usage des emojis au sein de posts sur le compte des réseaux sociaux d'une entreprise
©KelVal

Selon les données collectées par le Consortium Unicode, organisation à but non lucratif, le Top Ten des emojis les plus utilisés en 2021 fait la part belle aux signes d’affection et de rire. 😂 ❤️ 🤣 👍 😭 🙏 😘 🥰 😍 😊 Ce sont ces mimiques qui ont le plus largement ponctué les échanges dans la sphère privée et dans une moindre mesure, publique.

📍Dans le monde professionnel, « les emojis sont un bon outil de communication tant qu’ils sont utilisés avec parcimonie et de manière réfléchie, car un visuel peut transmettre beaucoup de mots et d’émotions de manière plus efficace », estime la professeure Cristina Gibson dans un article publié sur Forbes.

📍Selon une étude sur les emojis sur le lieu de travail que la professeure Gibsona conduite, 75 % des employés pensent que les emojis améliorent la communication au travail et que 45 % sont à l’aise pour utiliser des emojis avec leur boss.

📍Les émojis devraient donc continuer à rythmer les SMS et les posts sur les réseaux sociaux.  Cet usage ne revêt pour autant aucun caractère obligatoire pour les entreprises.

♦️En tant que porteur de projet, auto-entrepreneur ou responsable d’entreprise, il vous appartient de les intégrer, ou pas, à votre charte graphique. Pour mémoire, voici le raccourci pour accéder aux émojis :

  • Depuis un PC : (touche Windows + touche point-virgule)
  • Depuis un Mac : Control + Command + barre espace

💡Si vous faites partie des adeptes, l’application Cool Symbol vous permettra d’accéder à une large collection d’emojis visibles sur une même page depuis un grand écran. Il vous suffit d’en sélectionner un, le copier puis le coller dans un nouveau message sur votre réseau social favori.

Si malgré tout vous êtes encore avides de nouvelles mimiques, les nouveautés qui apparaîtront au cours de l’année sont à découvrir ici.

KelVal a pris le parti de les utiliser en guise de puces dans ses posts sur les réseaux sociaux.

Et vous, les émojis, ça vous parle ou ça vous agace?

Parler de votre parcours d’entrepreneur sans détour

Osez mettre en lumière votre parcours d’entrepreneur – Photo by Elodie Garnaud

Au lancement de son site web, tout créateur d’entreprise se montre intarissable sur son offre de services ou les spécificités de son produit. Et pour cause, personne ne sait mieux que lui de quoi il en retourne. En revanche, dès qu’il s’agit de renseigner la partie Qui suis-je? certains se cachent derrière un « nous » vague et anonyme.  S’il se saisit de l’occasion pour citer les principales valeurs de son entreprise, il tait souvent le cheminement qui l’a conduit à cette idée lumineuse.

Les raisons qui le conduisent à ce choix sont de différents ordres. Certains préfèrent faire l’impasse sur leur parcours tout simplement par paresse. D’autres cèdent à leur timidité, craignant de braquer artificiellement les projeteurs sur sa personne au détriment de son projet. Loin d’agacer les lecteurs, l’éclairage sur son parcours contribue au contraire à rassurer prospects et clients sur la fiabilité et le sérieux de l’entreprise.  Ils y voient un signe d’authenticité et de transparence.

Il n’est pas toujours simple d’expliquer ses choix professionnels, les virages à 180° que l’on a parfois empruntés, ou bien simplement d’évoquer l’élément qui a suscité l’envie soudaine et impérieuse de créer sa propre entreprise.

Vous aussi, vous rechignez à évoquer votre parcours et vos motivations ? Si vous peinez à trouver seul les mots justes, n’hésitez pas à me contacter pour une prise de rendez-vous. Ce premier échange, gratuit et sans engagement, nous permettra de définir vos besoins et les conditions d’une éventuelle collaboration.