(Re-)Trouvez le plaisir d’apprendre et de créer Il faut un peu d’audace pour naviguer en barque alors qu’on ne sait pas du tout ramer. Apprendre et créer dans la joie participe de ce même processus. Il s’agit avant tout de faire taire les autocritiques. ©Kelval Les blocages à l’apprentissage ont beau dater des années primaire/lycée, ils freinent votre épanouissement professionnel. Comment retrouver le plaisir d’apprendre et de créer ? Cela fait des années que vous avez quitté les bancs de l’école, mais les remarques dépréciatives d’une figure tutélaire (enseignant, parent…) restent ancrées dans votre mémoire. Une parole vexatoire, un regard dédaigneux, un geste méprisant vous renvoient instantanément à cet instant du passé où vous vous êtes figé. Sans que vous l’ayez pleinement mesuré sur le moment, la saynète a engendré un blocage à l’apprentissage. A l’aise dans votre zone de confort, vraiment? Dorénavant la peur du jugement devance la joie de s’initier à de nouvelles pratiques ou théories. Sans attendre la sentence de l’autre, vous vous sous-estimez vous-même. Cela vous ôte le plaisir d’explorer des domaines que vous ne maîtrisez pas. De fil en aiguille vous vous calfeutrez dans une zone de confort, qui n’est pas si confortable que cela. Au fond de vous-même vous savez que vous n’exploitez pas pleinement vos compétences. Vos capacités sont entravées par ce manque de confiance en vous, mais pas au point d’être totalement ankylosé. Chassez le petit juge intérieur Aujourd’hui, vous avez créé votre propre activité en dépit de toutes ces entraves. Régulièrement, vous devez batailler contre cette petite voix intérieure qui vous dénigre, instille les doutes. C’est le moment où vous sortez les rames pour chasser toutes ces autocritiques. Ce sont elles qui risquent de ruiner vos chances de succès, bien plus qu’un mauvais time-to-market. Cet effort intense aspire une énergie qui aurait pu être consacrée à l’essor de votre activité. Il vous est impossible de créer sans passer par ces affres. Comment retrouver cette joie d’apprendre et créer, sans complexe, sans craindre de se tromper ? C’est justement l’objectif des ateliers de cocréation. Pendant un ou deux jours vous essayez de mettre au gout du jour votre logo, écrire une nouvelle présentation de votre entreprise, imaginer un nouveau service ou produit. Au-delà de la création d’un outil de communication, ces ateliers visent à libérer votre créativité. Une manière de donner des ailes à votre marque. Valérie Quélier
La star et le timide, un conte sur les croyances limitantes Le timide rechigne à réaliser un long métrage sur une star. Que devrait-il faire pour passer à l’action? Aurait-il besoin d’une formation pour prendre en confiance en lui? En guise de carte postale, je vous partage ce conte qui fait écho à ces envies pressantes que l’on repousse par peur d’entreprendre et d’échouer. Un manque d’audace qui nous prive parfois de notre enthousiasme et de nos joies profondes. Les jours de beau temps, un voile de coton ondulait entre les nuages épars. On y décelait les spectres de vies passées. Il y avait cette star de cinéma des années 30 reconnaissable à sa bouche pulpeuse qui s’entrouvrait au moment d’éloigner son fume-cigarette. Elle restait nostalgique des flashs qui crépitaient tout autour d’elle lorsqu’elle apparaissait sur le perron d’un hôtel ou à la sortie d’un théâtre. Elle était l’éblouie qui éblouissait un public d’hommes et de femmes, tous restaient ébaudis, étourdis par sa beauté. Mais c’était surtout et avant tout son impétuosité qui les impressionnait. On la disait croqueuse d’éphèbes, d’une élégance rare. Exigeante selon les uns, capricieuse selon les autres, elle se montrait intransigeante de l’avis de tous. Sur terre, rares étaient ceux à prononcer encore son nom, et plus rares encore sont ceux qui le prononçaient sans l’écorcher. Le timide faisait partie de ceux-là. Des croyances limitantes sur ses capacités Cinéphile averti, il dissertait volontiers sur cette star qu’il admirait autant qu’il réprouvait. Il n’en avait pas encore conscience mais ce qu’il critiquait et convoitait c’était précisément cette impétuosité qui lui faisait tant défaut. Du haut de ses nuages, elle percevait ses aspirations les plus profondes. D’humeur badine elle lui insuffler un jour la pensée de réaliser un film sur sa vie de star. En vain. A peine l’idée d’un biopic lui était parvenue qu’il s’empressa de la chasser. Soudain en verve, il déroula en boucle toutes les objections : « A quoi bon ? Plus personne ne la connait. Les producteurs ne me suivront jamais sur ce projet. Si encore j’avais déjà réalisé un premier film, mais là non ce n’est pas la peine d’essayer. De toutes façons je ne suis que technicien… » De la difficulté à passer à l’action Piquée au vif, la star négocia avec le ciel un séjour plus long pour convaincre le timide de mener à terme le projet. Mais encore fallait-il se faire entendre du craintif ! Ses moyens étaient limités. Elle usait de toutes les ruses bien connues des anges. Pour l’anniversaire de sa fiancée, elle l’orienta vers un rouge à lèvres laqué qui avait marqué sa notoriété. Mais il tiqua à peine lorsque l’amoureuse fit le rapprochement. Dès que l’impétueuse s’arrangeait pour qu’une radio diffuse l’une de ses chansons (ce qui était extrêmement difficile à obtenir tant son nom de star tombait en désuétude), le cinéphile liait ce hasard à sa passion pour l’actrice, mais rien de plus. Il se laissait à peine traverser par l’idée éventuelle d’un biopic, très vite il reprenait sa litanie du projet impossible à réaliser, parce que patati et nananère…. L’impétueuse ne se découragea pas pour autant. Un dimanche de brocante, le couple trouva un fume-cigarette ressemblant à s’y méprendre à celui de la star. La coïncidence était d’autant plus troublante qu’il portait ses initiales. « C’est énorme, s’enthousiasma l’amoureuse. C’est un signe, il faut que tu fasses son biopic ! » La star se réjouit d’avoir enfin une alliée terrestre pour mener à bien le projet. Le timide était désormais convaincu par l’idée du projet. Mais le plus difficile restait à faire : comment l’inciter à passer à l’action ? Comment le convaincre de passer de l’ombre à la lumière ? Selon vous, qu’est-ce qui empêche le timide de réaliser un film sur sa star préférée? Serait-ce ses croyances limitantes, un manque de confiance en sa créativité? Il est possible qu’il gagnerait à participer à un atelier de co-création. Valérie Quélier
Participez à un atelier de co-création pour donner des ailes à votre marque Libérez votre créativité au sein des ateliers animés par KelVal Osez créer seul(e), ou avec votre équipe, votre logo, votre bio ou tout autre outil de communication. Je vous propose de vous accompagner pour réaliser vos premiers pas au sein d’un atelier de cocréation. Un atelier de cocréation, qu’est-ce que c’est ? Il s’agit d’un moment privilégié pour libérer votre créativité. Vous choisissez le mode d’expression (dessin, écriture, prise de parole en public) en fonction de votre appétence et du besoin de votre entreprise (design graphique, rédaction de contenus ou pitch/présentation). Pour ce faire, je vous accompagne dans la création de vos supports. Un atelier de cocréation, quelles sont les conditions d’accès? Il n’y a pas de prérequis, ni de formule magique pour réussir à créer. Vous devez avant tout et surtout en avoir envie et accepter de lâcher-prise. Rien de plus facile de savoir si vous remplissez la première de ces deux conditions. L’envie s’impose souvent comme une évidence. Mais il arrive parfois qu’elle se niche dans des rêveries dont vous n’avez jamais parlé à personne. Dans ce cas il vous appartient de lever le voile sur vos aspirations secrètes. Le lâcher-prise suppose que vous acceptiez ce qu’il se passe à l’instant T. Ce travail consiste dans un premier temps à faire taire les auto-critiques. Ce qui n’est pas une mince affaire pour nombre d’entre nous ! Un atelier de cocréation, comment ça se déroule ? Chaque séance se compose de trois moments : 1/ un échange permettant de définir le sujet sur lequel vous souhaitez travailler 2/ des exercices préparatoires pour exercer votre créativité 3/ la réalisation d’un outil de communication. Un atelier de cocréation, ça prend combien de temps ? Il est conseillé de prévoir deux séances de trois heures afin de pouvoir vous immerger pleinement dans ce travail. Un atelier de cocréation, où ça se passe ? L’atelier peut se passer en individuel ou en équipe, dans vos locaux, dans un espace de coworking ou encore à distance. N’hésitez pas à me contacter sur le sujet. Le premier rendez-vous est gratuit et sans engagement.